TEXTS (2012)(Edit)
Publishings/Publications : — Biblio — — Texts List — — 2013 — 2012 — 2011 — 2010 — 2009 — 2008 — 2007-2004 —
To download texts : http://jeromejoy.org/files/txt/ (Pour télécharger l'intégralité des textes) | ....................... Academia.edu : http://ulaval.academia.edu/JeromeJoy/Papers |
2012(Edit)
| ||
| ||
Joy J. (2012). Les Étendues Sonores — Auditoriums Terre/Mars (Sonic Expanses — Earth/Mars Auditoriums) In Actes de l'école thématique CNRS « Soundspace — Espaces, Expériences et Politiques », organisé en juillet 2011 par les laboratoires ESO Espaces et Sociétés Université de Nantes et Université de Rennes, AAU Ambiances Architecturales et Urbaines (CRESSON et CERMA) Écoles Nationales Supérieures d'Architecture de Grenoble et de Nantes, ARIAS Atelier de Recherche sur l'Intermédialité et les Arts du Spectacle Université de Paris 3 Sorbonne Nouvelle, IDEMEC/MUCEM Institut d'Ethnologie Méditerranéenne et Européenne Comparative / Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée, et le bureau de recherche Aménités (Aménagement, Environnement, Territoires, Recherches pour un développement durable) Ivry sur Seine, édités par Claire Guiu (laboratoire ESO Nantes) et Marie-Madeleine Mervant-Roux (ARIAS), et publiés aux Presses Universitaires de Rennes, 2013. (En cours de publication / to be published) De l'écoute planétaire à l'écoute interplanétaire - Les conditions de continuité et de couture acoustiques et sonores de notre sensorium dans un environnement extrême (et dans des interconnexions d'espaces) - [Au-delà de l'Internet ; Nouveaux périmètres "à notre portée" des auditoriums ; Acoustique terraformée et écoute modifiée ; productions sonores et musicales terremartiennes] — From planetary and global listening to interplanetary and intermundane listening - The conditions of acoustic & sound continuity and of seamless spatialisation of our sensorium into an extreme environment (and between interconnected spaces) - [Beyond the Internet ; New perimeters of "within our reach" auditoriums ; Terraformed acoustics and amended listening ; Sound and musical earthmartian works] [ ... → continue reading — lire l'article ... ] [ ... → pdf download (French version) — télécharger le pdf ... ] |
Article (proof) (FR) | |
| ||
| ||
Joy J. (2012). Questions d'Archives : Flux et Circuits (Archives — Fluxes & Circuitry) In « L'Auto-Archivage Immédiat comme Œuvre », sous la direction de Julie Morel, ESA Lorient, École Européenne d'Art de Bretagne, Revue Pratiques, École Supérieure d'Art de Rennes, FRAC Bretagne, Université Rennes 2 — Revue Pratiques, Rennes, 2013 (en cours de publication / to be published). Entrepôts et dépôts : archives et enregistrements vs flux — Engager une réflexion sur la question de l'auto-archivage immédiat demande au premier abord de clarifier les définitions qui s'y logent et de discerner de quoi nous parlons, et ensuite d'ouvrir les problèmes et les potentiels qui alimentent cette question et qui peuvent devenir ou générer des processus d'une œuvre. Comme cela est proposé, le Web 2.0 (des blogs et des environnements interactifs de contribution) semble être le champ d'observation le plus propice : il est principalement modélisé sur les supports de l'écrit (journal, page d'un livre, index, robot de recherche, etc.) au travers d'interfaces qui favorisent la co-énonciation et la contribution. Toutefois d'autres structures de contribution dynamique interfacées graphiquement (cartes ou maps, chronologies ou timelines, lecteurs de flux ou streamings, tablettes électroniques mobiles temps réel ou realtime mobile web, etc.) proposent aussi des expériences spécifiques de contenus co-énoncés. À tout moment disponible et de nature de plus en plus gigantesque, l'ensemble se trouve relayé, « conservé » et stocké instantanément sur les mémoires des machines en réseau (serveurs). Espace documentaire ou espace-mémoire ? — [ ... → soon — bientôt ... ] [ ... → pdf download (French version) — télécharger le pdf ... ] |
Article (proof) (FR) | |
| ||
| ||
Joy J. (2012). Auditoria & Audiences – « Shakkei » 借 景 - The Out in the Open Listening Experience (Auditoriums & Audiences – « Shakkei » 借 景 et l'expérience de l'écoute en plein air) In « On Listening », sous la direction d'Angus Carlyle, CRiSAP University of the Arts London, 2013 (en cours de publication / to be published). Si la musique devient étendue, outre les propagations et les étendues singulières des sons dans le plein air et dans l’acoustique ouverte du dehors, c’est parce qu’elle s’ouvre indubitablement au mélange des ambiances et des lieux. Elle ouvre aussi une « musicalisation » synchrone et a-synchrone de l’espace social, c’est-à-dire des régimes d’attention et d’adresse singuliers et collectifs qui intensifient notre conscience (mutuelle et individuelle) au travers de l’écoute, d'un côté, de ce qui arrive (en flux, et fortuitement) et, d'un autre côté, de la musique que l’on construit, fabrique et compose, que l'on désigne. Cette fabrication, auditorium, collabore, à sa manière, avec l’environnement et joue avec les étendues sonores ; elle modifie nos perceptions et nous fait participer ensemble à ces évaluations permanentes sensibles. Cet art de la fabrication d’écoutes par la distance, ou par les modulations de distance et des émissions, rejoint par analogie un autre art, le « shakkei » ( 借 景 ) : c’est-à-dire la pratique subtile de la plantation jardinière vue comme une technique de perception, de construction et d’interprétation de la réalité (et de la collaboration avec l'extérieur), et correspondant à ce qui est appelé le « mitate » (« voir comme »), que nous pourrions transposer dans le domaine de l’écoute par « ototate ». Nous proposons que la musique étendue et l’écoute à distance soient des « embrayeurs » de telles situations : en collaborant avec et empruntant aux distances, en expérimentant les étendues et en modulant son écoute. — The reason why music becomes a series of sound expanses - besides explanations related to the search for unusual acoustics and unexpected possibilities of sound transmissions that both arrive with the wider frame enabled by extended outdoor spaces - relates to the opportunity to open up a mix of ambience and place. This ‘opening up’ is also a “musical transformation” - synchronous and a-synchronous - of the social space. In other words, music opens up an attentive and focused attitude, at once collective and singular, that intensifies our (mutual and individual) consciousness through the listening to what comes (in all its fortuitous flows) and the music is thus created, fabricated and composed; a music that we designate as such. This process of manufacturing — effectively the establishment of an auditorium — collaborates with the environment and experiments with acoustic expanses; it modifies, to repeat, our ways of perceiving and enables us to participate, evaluate and modulate “together” the very listening experience that is being constructed. This art of manufacturing the space of remote listening encounters, by analogy, another art: shakkei. In Japanese tradition, shakkei (which literally means “borrowed scenery”) refers to the subtle practice of gardening considered as a technique of perception, construction and interpretation of the reality (and of collaboration with the exterior world). It corresponds to what is called mitate (“see like”) and, if taken into the acoustic field could be translated as ototate. We suggest that extended music and distance listening serve as “clutches” for such situations: through collaborating and borrowing from the distance, experimenting with expanses and modulating our own listening(s). [ ... → soon — bientôt ... ] [ ... → pdf download (English version) — télécharger le pdf ... ] [ ... → pdf download (French version) — télécharger le pdf ... ] |
Article (proof) (ENG) Article (proof) (FR) | |
| ||
| ||
Joy J. (2012). Introduction à une Histoire de la Télémusique (Introduction to Network Music) (en cours de rédaction / in-progress). (voir ci-dessous / '''see below'''). : Joy J. (2010). La Musique en Réseau (Networked Music Performance). Article Wikipedia, 2009-2010. (online article) Si la musique en réseau est situable et située dans l’histoire, nous devons sonder et examiner à nouveau sa définition au regard des développements, engendrés par les investigations technologiques et par les propositions musicales et sonores, qui modifient les natures de l’interprétation, de l’organologie, de la lutherie, des pratiques d’écoute et de la composition (instrumentale et électroacoustique/électronique). Nous sommes amenés à clarifier et à distinguer les caractéristiques des dispositifs en réseau quant à leurs constituants musicaux. Cette première exploration pourra ouvrir de nouvelles études et analyses sur ces objets et nous permettre d’approcher et de mettre à jour les enjeux actuels et communs, présents dans la recherche et dans les pratiques artistiques. Nous sommes certainement au début d’une ère musicale marquant le développement des formes musicales de collaboration et de participation en ligne et en réseau. Simultanément à cette exploration il semble nécessaire de continuer à interroger les notions historiques musicales et à élucider les nouveaux problèmes et problématiques qui progressivement apparaissent au sein de ces pratiques, d’auteur et d’auditeur, impliquées dans les relations et les intrications entre musique et technologies, tout autant que les modifications et corrélations sociales qu’elles décèlent ou prolongent. — [ ... → soon — bientôt ... ] |
||
| ||
| ||
Joy J. (2012). L'Ultime – David Ryan & Jérôme Joy - 1984 (An Ultimate Action – David Ryan & Jérôme Joy - 1984) In Archives de la collection, CapcMusée d'Art Contemporain de Bordeaux, 2013 (en cours de publication / to be published). Après notre première œuvre commune « Rien n'est jamais tout à fait achevé » que nous avions réalisé à Bordeaux en janvier 1983 en tant que « contre-performance » de celle de Salomé-Castelli-Fetting au Capc, Jean-Louis Froment nous a proposé quelques mois plus tard de faire une exposition de trois mois dans la grande nef des Entrepôts Laîné. Celle-ci était prévue et envisagée pour être réalisée à la fin 1983 / début 1984 avant l'ouverture du Capc Musée d'Art Contemporain. Notre réponse, cohérente avec ce que nous appelions à l'époque la Recherche à Trois Inconnus qui nous permettait de construire des comportements critiques au sein de notre fonctionnement collectif (Ryan, Joy & Ferri), a été en quelque sorte d'inverser la proposition en annonçant que nous voulions bénéficier de trois mois d'atelier et de prise en charge de la production pour une réalisation qui ne durerait qu'une soirée : L'Ultime, une action/exposition d'un soir. Jean-Louis Froment a accepté notre « contre-proposition » et nous avons pu ainsi travailler sur le projet de L'Ultime de novembre 1983 à janvier 1984 dans un vaste entrepôt situé Cours du Médoc et utilisé pour le stockage de la collection du Capc. Les premières réalisations que nous avions menées durant l'année précédente prenaient comme principe, d'une part, une relation spécifique avec le public et, d'autre part, la mise en place d'une stratégie permettant d'associer des peintures et des musiques au sein d'un moment immersif que nous mettions en action. Le mode d'action et le fait d'activer celui-ci correspondaient pour nous à un geste critique et politique. En premier lieu, il s'agissait d'amorcer dans nos œuvres une situation publique « limite » qui dépassait le simple état de fait lié à la monstration (nous parlions souvent de l'inversion entre l'atelier et l'exposition, de mettre à jour des « processus », et d'aller à rebours des « œuvres silencieuses »). Et, en second lieu, il était important d'engager à chaque fois d'autres formes d'attente de la part du public mais aussi vis-à-vis de nous-mêmes, comme par exemple avec les permutations et les intrusions du travail de l'un de nous deux dans le travail de l'autre permettant de dévoiler les processus et de court-circuiter les jeux de comportement — tels que les doubles en peinture, les peintures répétées et le travail de faux-peintre ainsi que, du côté musical, le travail de et d'utilisation de la voix chantée. Notre travail à trois dégageait aussi une autre force critique qui impulsait constamment notre quotidien et qui nous autorisait à prendre collectivement des décisions et à projeter vers l'avant ces « actions ». — [ ... → soon — bientôt ... ] [ ... → pdf download (French version) — télécharger le pdf ... ] |
Article (proof) (FR) | |
Publishings/Publications : — Biblio — — Texts List — — 2013 — 2012 — 2011 — 2010 — 2009 — 2008 — 2007-2004 —