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JEAN-CLAUDE ELOYpage 2 — 1966-1972page 1 (1954-1966) — page 3 (1972-1980) — page 4 (1980-1989) — page 5 (1989-...) |
documents (par ordre chronologique)(Edit)
1966(Edit)
(à propos de Jean-Claude Eloy)
Olivier Messiaen
in Preuves, no 179, janvier 1966
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- Abstract : Si l’on s’en tient au sens signifiant du mot « sériel » (que veut dire « sériel » ?) : exprimé par « dodécaphonie » et « série dodécaphonique », uniquement à cause des douze sons et sans l’excuse du moindre symbole, l’attachement puéril au chiffre douze est depuis longtemps périmé. Si l’on emploie le mot « sériel » dans le sens directionnel (où nous mène la « série » ?) : le déroulement d’un certain nombre d’objets dans un certain ordre – qu’il s’agisse de durées, de sons, d’intensités, de timbres, d’attaques, de densités, de tempi, ou de tout autre paramètre musical – semble maintenant dépassé. Il fut utile au début des musiques sérielles post-weberniennes, comme barrière, comme garde-fou : il permettait d’éviter des sonorités classées, des rythmes classés, il ouvrait la porte à l’orchestration par mélodies-de- timbres. Depuis les chefs-d’œuvre de Boulez et les prospections éclatantes de Stockhausen, cette peur de la citation implicite a disparu. Boulez a très génialement remplacé la série par les notions plus fécondes d’homophonie et d’hétérophonie. (Homophonie : entendez une ligne exprimée en complexes de sons variables. Hétérophonie : entendez une musique superposée à elle-même en plusieurs variations simultanées). Les plus jeunes – je pense à la technique assurée d’un Gilbert Amy, aux recherches de timbres et de durées d’un Jean-Claude Eloy – ont depuis longtemps jeté par-dessus bord le mot « sériel » et la scholastique qu’il suppose : il s’agit pour eux d’un fait acquis, sans problèmes, qui appartient au passé. Pour les plus jeunes encore, la génération montante, les trois Viennois furent les inventeurs précurseurs, Boulez est le grand classique. Et nous ne savons pas encore quelles nouvelles acquisitions nous apportera le quatrième quart du XXe siècle. - (Olivier Messiaen, In Enquête d’André Boucourechliev, Preuves, no 179, janvier 1966) — (repris In Olivier Messiaen, le livre du centenaire, Anik Lesure-Devriès et Claude Samuel (coordination), Collection Perpetuum mobile, p.57, Symétrie, juillet 2008) — [lire la suite / continue reading] | ||
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1967(Edit)
(à propos de Jean-Claude Eloy)
Olivier Messiaen
in Claude Samuel, "Olivier Messiaen - Musique et Couleur (Nouveaux entretiens avec Claude Samuel)", p. 88. Collection "Entretiens", Éditions Pierre Belfond, Paris, 1986
Et aussi : In Claude Samuel, "Entretiens avec Olivier Messiaen, Éditions Pierre Belfond, Paris, 1967.
Et aussi : p.82 de l'édition anglophone, Claude Samuel, "Music and Color: Conversations with Claude Samuel", Amadeus Press, 1994.
Et aussi : p.48 : In Conversations with Olivier Messiaen, Claude Samuel, Stainer & Bell, 1976.
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- Abstract : […] Lately we've reached great expanses of long durations that extend beyond not only classical time-signatures but even Greek meter, Indian deci-talas, and irrational values. We're witnessing a change in the notion of time, and I believe that one of the composers most sensitive to this change is Jean-Claude Eloy. Beyond the refinement of timbre and the quality of "heterophony", I discern in Jean- Claude Eloy's music a concept of time that is quite at the spearhead of the avant-garde. […] — (Olivier Messiaen) […] Nous parvenons actuellement à ces grandes plages de durées longues qui débordent non seulement les mesures classiques mais même la métrique grecque, les deçî-tàlas de l'Inde et les valeurs irrationnelles. Nous assistons à un changement de la notion de temps et je crois qu'un des musiciens pour lequel ce changement est le plus sensible est Jean-Claude Eloy. En dehors du raffinement des timbres et de la qualité de "l'hétérophonie", je discerne dans la musique de Jean-Claude Eloy une conception du temps qui est tout à fait à la pointe de l'avant-garde. […] — (Olivier Messiaen) — [lire la suite / continue reading] | ||
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(LE CINÉMA)(Edit)
(MACLES)(Edit)
Macles (pour six groupes de timbres instrumentaux) (1966-67) — (Développements d'après la musique originale du film La Religieuse de Jacques Rivette — Version I : 9 min — Version II : 20 min)
Création : 27/02/1967 – Ensemble Musique vivante, direction Boris de Vinogradov. France, Paris, Théâtre de l'atelier.
(SÉQUENCE ET BOUCLE)(Edit)
Séquence et Boucle (pour petit ensemble instrumental, 4min + 2min) (1968) — (D'après la musique originale du film L'Amour Fou de Jacques Rivette)
Enregistrement pour le film : 1968 – Solistes du Domaine musical, direction Jean-Claude Eloy
1968(Edit)
(Entretien Jacques Rivette, à propos du film La Religieuse, 1966)
in Les Cahiers du Cinéma, n° 204, pp. 7-21, sept. 1968
Sorti le 26 juillet 1967 en salles (France). Le film a été présenté l'année précédente au Festival de Cannes. A été interdit à la diffusion publique le 31 mars 1966, puis autorisé, avec interdiction au moins de 18ans, en juillet 1967.
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- Abstract : En 1966, Jean-Claude Eloy écrivit la musique du film la Religieuse de Jacques Rivette, dont il tira l'année suivante Macles pour 6 groupes d'instruments. En 1968 suivit celle de l'Amour fou, de Rivette également. Ce film dure quatre heures, et là se manifesta nettement, pour la première fois, l'attrait exercé sur le compositeur (qui dès 1960 avait visité l'Égypte) par l'Orient. — Cahiers du Cinéma — Comment avez-vous travaillé avec Jean-Claude Eloy ? Avant le tournage ? — Jacques Rivette — Après le tournage. De très près. [...] Avec Denise de Casabianca et Jean-Claude, on a discuté entre nous de la construction sonore complète du film, non seulement là où il y avait de la musique, mais là où il n'y en avait pas. La bande sonore est donc devenue complètement une partition. Jacques Rivette rappelle que Jean-Claude Eloy « a écrit toute la musique en fonction de cette musique principale, tout le reste étant des développements de certaines parties de cette grande musique, écrits plus pour tels ou tels instruments, en fonction du plan, et en fonction également du son réel qu’on avait, et qu’on gardait toujours sous la musique; tous les bruits étaient repérés et intégrés dans la partition. — [lire la suite / continue reading] - Prolongements : — Cette musique pour le film donnera lieu à la composition « Mâcles » ou œuvre concertante pour zarb et ensemble instrumental à partir des éléments musicaux de La Religieuse, comportant des structures fixes, des séquences permutables et de véritables cadences de solistes (Macles (I/II) pour six groupes de timbres instrumentaux, Création : 27/02/1967 – Ensemble Musique vivante, direction Boris de Vinogradov. France, Paris, Théâtre de l'Atelier). — Valérie Vignaux, « Suzanne Simonin, ou, La religieuse: Jacques Rivette », (Céfal, 2005) — Jean-Baptiste Favory : Vous avez aussi composé pour l'image... — Jean-Claude Eloy : Oui, d'abord avec Jacques Rivette pour La Religieuse en 1966, car Pierre Boulez n’avait pas le temps de le faire, et comme j’étais son ancien élève, il m’avait recommandé auprès de Rivette. J'ai travaillé pour lui une fois le film achevé, ce que je trouvais dommage, car j'aurais aimé travailler avec lui plus en amont ; mais c'est souvent le cas au cinéma. Le plan de travail fourni par Rivette était cependant très précis, avec des minutages au 24e de seconde près. J'ai d'ailleurs appris une chose intéressante avec la monteuse de Rivette, Denise de Casabianca : elle trouvait mes calages de musiques trop précis et les acteurs prenaient alors l'allure de robots, mais en décalant d'une ou deux secondes mes musiques, tout paraissait beaucoup plus naturel à l'image ! J’ai ensuite fait quelques minutes de musique originale pour L’Amour Fou de Rivette, en 1968. J'ai aussi travaillé pour le film La Spirale d’Armand Mattelart, qui souhaitait utiliser des fragments de ma pièce Faisceaux-Diffractions. Comme il s'agissait d'un film militant, j'ai renoncé à mes droits SACEM. C'est Chris Marker qui m'avait présenté à l’équipe de réalisation de Mattelart : une équipe entièrement féminine et très militante. Beaucoup plus récemment, c'est Gaspard Noé qui a souhaité utiliser ma musique pour son film Enter the Void en 2010. Il avait entendu mes pièces électroacoustiques Shanti et Gaku no michi et voulait utiliser des fragments qu'il souhaitait mixer dans une bande-son déjà existante. Là aussi, le travail avec mes musiques s'est fait une fois le film monté. — (In "L’orchestre virtuel et la musique de film. Entretien avec le compositeur Jean-Claude Eloy", Jean-Baptiste Favory, janvier 2015) — [lire la suite / continue reading] | ||
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- Annexes : — [Documentation : "Suzanne Simonin, La Religieuse de Diderot", de Jacques Rivette, 1966] — [Documentation : “Cellular (Film Music) Composition: Jean-Claude Eloy’s score for Jacques Rivette’s ‘La religieuse’ (1966)”, Orlene Denice McMahon (University of Cambridge, UK), presented at the International Conference of the IMS Study Group “Music and Media”, Humboldt University Berlin, 25–27 June 2010] — [Documentation : “Entre Tradition et Modernité - La Musique dans le Cinéma de la Nouvelle Vague”, Frédéric Gimello-Mesplomb, in Revue Positif, n°451, septembre 1998] — [Documentation : "L’orchestre virtuel et la musique de film. Entretien avec le compositeur Jean-Claude Eloy", Jean-Baptiste Favory, janvier 2015] — [Documentation : Interview de Jacques Rivette, 9 mai 1966 (video)] — [Documentation : L'histoire de l'interdiction de la diffusion publique du film de Jacques Rivette] — [Documentation : L'histoire de l'interdiction (2): "L’affaire de la Religieuse de Rivette (1965-1967)", Sabine Rousseau, 2012] — [Documentation : Lettre de Jean-Luc Godard à André Malraux, publiée dans Le Nouvel Observateur le 6 avril 1966, contre la censure et l'interdiction de la diffusion publique du film (page 1)] — [ (page 2)] | ||
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1968(Edit)
(Jacques Rivette, L'Amour Fou, 1969)
Sorti en salles (France) en 1969.
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- Abstract : - Prolongements : — Cette musique pour le film donnera lieu à la composition « Séquence et Boucle » pour petit ensemble instrumental . Enregistrement pour le film : 1968 – Solistes du Domaine musical, direction Jean-Claude Eloy. | ||
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- Annexes : — [Documentation : "L’amour fou: A Revolution in Realism, Reflexivity, and Oneiric Reverie", Mary M. Wiles, 2011] — [Documentation : "Time Overflowing, Jacques Rivette interviewed by Jacques Aumont, Jean-Louis Comolli, Jean Narboni, Sylvie Pierre, Originally appeared in Cahiers du Cinema 204, 1968. Interview conducted July 27, 1968] | ||
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1968(Edit)
Prolongement Cinéma : (Armand Mattelart, La Spirale, 1976)
Sorti en salles (France) le 28 avril 1976.
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- Abstract : - Prolongements : — Utilisation de Faisceaux-Diffractions de Jean-Claude Eloy. La version française de La Spirale a été distribuée dans plusieurs salles de cinéma parisiennes en mai 1976. Elle fut aussi projetée, à la même époque, au Festival de Cannes dans la section Perspectives. En revanche, la télévision publique française, la jugeant « didactique et partisane » refusa de la transmettre en 1977. « Trente ans plus tard, selon l'Institut national de l'audiovisuel (INA), le film a trouvé sa place dans l'historiographie du cinéma politique comme "une œuvre incontournable", un "documentaire inégalé dans l'analyse des techniques de déstabilisation. » (A. Mattelart in : Le Monde diplomatique, septembre 2013, d'après un article paru dans Cuardenos criticos de comunicación y cultura, printemps-été 2008, Université de Buenos Aires.) | ||
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- Annexes : — [Documentation : "La Spirale, entretien Armand Mattelart et Didier Bigo, 2008] | ||
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(STOCKHAUSEN)(Edit)
1969(Edit)
Entretien Jean-Claude Eloy - Karlheinz Stockhausen
In "Stockhausen ou les métamorphoses de la vitalité créatrice (Déterminisme et indéterminisme à travers son œuvre)", Jean-Claude Eloy, 1987 pour la revue Silence
"Stockhausen or the metamorphoses of creative vitality: Determinism and indeterminism throughout his work; with an unpublished interview of Karlheinz Stockhausen" (1969), translated from the French by Meredith Escudier, zweisprachige Ausgabe, Hors Territoires 2004
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- Abstract : Jean-Claude Eloy — Vous avez toujours cherché cela, même dans vos œuvres écrites antérieures : étendre au maximum et dépasser les extrêmes de tous les paramètres. C'est une tendance profonde de votre personnalité... — Karlheinz Stockhausen — ... Et aussi étendre les limites de notre conscience; de la conscience de ce que nous appelons la musique. — Jean-Claude Eloy — Sur l'extension du temps, de la durée, et les rapports entre durées de segments, d'événements, échelles de proportions, etc... vous avez parlé dans diverses circonstances du Théâtre Nô du Japon; lequel vous fait vivre plusieurs octaves au-dessous de la normale... — Karlheinz Stockhausen — ... Du temps moyen-Européen... — Jean-Claude Eloy — ... Cela vous ralentit, cela vous fait descendre... [lire la suite / continue reading] | ||
- Télécharger / Download (pdf) : https://jeromejoy.org/files/articles/eloy/1969_ELOY_1fr.pdf.zip (version française) — https://jeromejoy.org/files/articles/eloy/1969_ELOY_1eng.pdf.zip (english version) - URL(s) (pdf) : (http://www.karlheinzstockhausen.org) |
1970(Edit)
Bakyla
in programme du Ballet Théâtre Contemporain, Maison de la Culture, Amiens, trimestriel n°1, oct. 1970
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- Abstract : Bakyla — Musique : Jean-Claude Eloy (Équivalences) — Chorégraphie : Félix Blaska — Scénographie : Karel Appel — Danseurs : Belmondo Muriel, Snyder Don Accompagnement musical sur bande. — [lire la suite / continue reading] | ||
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1971(Edit)
Le Matin du Monde
Maurice Fleuret
in Le Nouvel Observateur n° 330, p. 54, 8 mars 1971
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- Abstract : Comment le musicien retrouvera-t-il son pouvoir magique ? Nombreux sont les jeunes créateurs qui, comme Jean-Claude Eloy, évaluent maintenant les « chances d'une conjoncture Orient-Occident ». — [lire la suite / continue reading] | ||
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FAISCEAUX-DIFFRACTIONS(Edit)
(pour 28 instrumentistes, 26mn) (1970)
Création : 31/10/1970 – New York contemporary chamber ensemble, direction Arthur Wesberg. États-Unis, Washington, Library of Congress, Coolidge Festival.
1971(Edit)
L'Autre Boulez
Maurice Fleuret
in Le Nouvel Observateur n° 343, pp. 60-61, 7 juin 1971
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- Abstract : Il me semble que Jean-Claude Eloy l'a fort bien compris, après des années d'exil, de révolte, de méditation et de silence. A trente-trois ans, il remet en question une œuvre courte et dense (« Etude III » 1962, « Equivalences » 1963, « Polychronies » 1964, « Macles » 1966) qui était jusqu'alors la plus digne de poursuivre dans la voie aride et subtile ouverte par Boulez. Ses « Faisceaux-Diffractions », dont Boris de Vinogradow vient de diriger la première européenne avec l'ensemble Ars Nova, ajoutent à une stupéfiante maîtrise d'écriture la magie palpitante des incantations orientales. Comme dans « Mantra », de Stockhausen, c'est toute la tendresse et la sagesse des musiques du monde qui est concentrée en faisceau et diffractée par le langage actuel. — [lire la suite / continue reading] — Faisceaux-Diffractions (pour vingt-huit instrumentistes, en 1970) est une œuvre charnière : « tentative pour décomposer, modifier, métamorphoser la continuité d'un cycle modal, sans jamais parvenir à la briser ». | ||
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- Annexes : — [Documentation : Faisceaux-Diffractions, 1970 (site du compositeur)] — [Documentation : Faisceaux-Diffractions, 1970, articles de presse (site du compositeur)] |
1971(Edit)
Discographie
Disque BARCLAY 995 038 France 1972 - Direction – Boris de Vinogradow, Ensemble Ars Nova. — [Documentation : Discographie (site du compositeur)] | - Fac-Similés : (cliquer les images pour les agrandir / click to enlarge) |
KÂMAKALÂ(Edit)
(Le Triangle des Énergies, pour trois groupes d'orchestre, trois chefs et cinq chœurs de douze voix mixtes, 32mn06) (1971)
Création : 23/10/1971 – Orchestre national et Chœur de l'ORTF, direction Marius Constant, Boris de Vinogradov, Catherine Comet, Marcel Couraud. France, Paris, Théâtre de la ville, SMIP, Journée Jean-Claude Eloy.
1971(Edit)
Kâmakalâ
Annonce presse
in Musique en Jeu n°3, p. 135, 27 juin 1971
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- Abstract : SMIP Journées de Musique Contemporaine, Paris, du 14 au 29 octobre, au Théâtre de la Ville et Salle Wagram. — [lire la suite / continue reading] | ||
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1971(Edit)
Kâmakalâ
Annonce presse
in Le Nouvel Observateur n° 359, p. 16, 27 sept 1971
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- Abstract : Le 23 octobre 1971 : "L'Orient et nous", (17h30), création de Kâmakalâ, par l'Ensemble Ars Nova, l'Orchestre National et Chœurs de l'O.R.T.F., directions : Catherine Comet, Marius Constant, Boris de Vinogradow (20h30) — [lire la suite / continue reading] | ||
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- Annexes : — [Documentation : Kâmakalâ, 1971 (site du compositeur)] — [Documentation : Kâmakalâ, 1971, articles de presse (site du compositeur)] — [Documentation : Kâmakalâ, 1971, press publishings (composer's website)] |
AUDIO
Kâmakalâ, Le Triangle des Énergies, pour trois groupes orchestraux et chœur (1971),
Orchestre National de France, Choeurs de Radio France,
directions: Alain Bancquart, Jean Paul Kreder, Pierre Stoll, Gabriele Ferro. 31/05/1976. — (source INA)
AUDIO
AUDIO
Jean-Claude Eloy - Kâmakalâ (1971), pour trois groupes d'orchestre, trois chefs et cinq chœurs de douze voix mixtes — (informations, compléments, site du compositeur J.-C. Eloy)
1971(Edit)(Programme Journées de Musique Contemporaine, SMIP/ORTF, du 14 au 29 octobre 1971)
1971(Edit)Brûlantes Journées d'Octobre
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