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!! |--> auditoire - auditorium *'__source__' : **ca 54 A.D. __ L’Art de la Claque **ca 97 - 108 A.D. __ « Epistulae » (Lettres) — Pline le Jeune (Caius Caecilius Secundus) (ca 61-114 AD) **ca 100 A.D. __ « Peri tou akouein — De recta ratione audiendi » (Comment écouter) — Plutarque (ca 46-120 AD) *'__citation__' : ***« I — Pline à Ariston — ^[...^] J’avoue que je lis mes ouvrages dans des assemblées d’amis; et je ne sais s’ils ont lu les leurs; mais ils pouvoient s’en reposer sur eux; et moi, je ne ne puis assez me fier à moi-même, pour croire parfait ce qui me le paroît. Je lis donc à mes amis. Voici mes raisons. Un auteur qui compose, redouble son application, quand il songe aux auditeurs qu’il doit avoir. » ''(Pline le Jeune (97-108 AD), “Lettres”, traduites par M. Louis-Silvestre De Sacy, Paris : chez la Veuve Barbou Imprimeur-Libraire, rue des Mathurins, n°5, (1808), Tome Premier, French, pp. 139-143, pp. 355-357)''{br}{br} ***« De même qu’au jeu de paume il faut que celui qui reçoit la balle règle exactement ses mouvements sur ceux du lanceur, de même dans les discussions philosophiques il est une sorte de concordance entre celui qui parle et celui qui écoute, pour peu que l’un et l’autre tiennent à remplir leurs obligations respectives. » ''(Plutarque)''{br}{br} ***LECTOR, RECITATOR. Lecteur. I. La lecture à haute voix fut à Rome un art assez goûté pour qu'on en fit une profession. Il y avait dans les riches maisons des esclaves instruits dont la fonction était de faire la lecture à leurs maîtres, au bain (Plin. "Ep." I, 5, 14 - Pline le Jeune, Correspondance), dans les veillées (Suet. "Aug", 78) ou pendant les repas (Corn. Nep. "Attic." XIV, 1; Plin. "Ep." III, 3, 11 and IX, 36,4). Ils sont désignés par les noms de lector, recitator, anagnostes. — II. Lectures publiques. De tout temps, les auteurs ont aimé à lire leurs ouvrages. Ils les lisent tantôt à leurs amis, et l'on sait qu'Horace recommande de les choisir éclairés et sévères, tantôt à ceux dont le suffrage peut le plus les flatter. Plus tard, l'empereur Hadrien fit construire l'"Athenaeum", où les poètes et les orateurs lisaient leurs ouvrages. Jusqu'à l'époque où l'"Athenaeum" fut bâti, les écrivains romains, qui voulaient se faire connaître, avaient d'abord à se pourvoir d'une salle de lectures. ''(Gaston Boissier in “Le Dictionnaire des Antiquités Grecques et Romaines de Daremberg et Saglio”, Hachette, (1877-1919), pp. 1012-1014)''{br}{br} ***AUDITORIUM : 1727, from L. auditorium "lecture room," lit. "place where something is heard," neuter of auditorius (adj.) "of or for hearing," from auditus, pp. of audire "to hear". An auditorium is a room built to enable an audience to hear and watch performances at venues such as theatres. For movie theaters, the number of auditoriums is expressed as the number of screens. The term is taken from Latin (from audītōrium, from audītōrius (“‘pertaining to hearing’”)); the concept is taken from the Greek auditorium, which had a series of semi-circular seating shelves in the theatre, divided by broad 'belts', called diazomata, with eleven rows of seats between each. — AUDITORIUM, as the name implies, is any place for hearing. It was the practice among the Romans for poets and others to read their compositions to their friends, who were sometimes called the auditorium (Plin. Ep. iv. 7) ; but the word was also used to express any place in which any thing was heard, and under the empire it was applied to a court of justice. Under the republic the place for all judicial proceedings was the comitium and the forum. (Ni pagunt in comitio aut in foro ante meridiem causam coniicito quum per- orant ambo praesentes. Dirksen, Uebersicht, &c. p. 7*25.) But for the sake of shelter and convenience, it became the practice to hold courts in the Basilicae, which contained halls, which were also called auditoria. In the dialogue de Oratoribus (c. 39), the writer observes that oratory had lost much by cases being generally heard in "auditoria et tabularia." It is first under M. Aurelius that the auditorium principis is mentioned, by which we must understand a hall or room in the imperial residence ; and in such a hall Septimius Severus and the later emperors held their regular sittings when they presided as judges. (Dig. 36. tit. 1. s. 22, 49. tit. 9. s. 1; Dion Cass. Ixxvi. 11; Dig. 4. tit. 4. s. 18.). In the time of Diocletian, the auditorium had got the name of secretarium ; and in a constitution of Constantine (Cod. Th. i. tit. 16. s. 6), the two words seem to be used as equivalent, when he enacts that both criminal and civil cases should be heard openly (before the tribunal), and not in auditoria or eecretaria. Valentinianus and Valens allowed causes to be heard either before the tribunal or in the secretarium, but yet with open doors. ''(“Dictionary of Greek and Roman Antiquities”, edited William Smith, 1870)''{br}{br} ***« Chez les Grecs, même au milieu des chahuts indescriptibles, applaudir était obligatoire. Ils avaient même un dieu pour cela. Même des acousticiens comme Vitruve avec ses vases ^[acoustiques^] s'attaquèrent à cette difficulté ^[du volume important des théâtres pouvant accueillir un nombre grandissant de spectateurs^], afin que tout le monde entende bien où qu'il soit dans un lieu théâtral : "Cette disposition de vases d'airain fera que la voix qui viendra de la scène comme d'un centre, s'étendant en rond, frappera dans les cavités des vases, et en sera rendue plus forte et plus claire, selon la consonance et le rapport que son tour aurra avec quelqu'un des vases. » ''(Cité par Odette Aslan, In "L'Art du Théâtre", Paris : Ed Seghers, 1963)'' *'__références__' : **« Discours Philosophiques d’Épictète » (ca 108 A.D.), Flavius Arrien (Lucius Flavius Arrianus "Xenophon") (ca 86-146 AD) **——— (1817), “L'Art de la Claque ou Réflexions d'un claqueur émérite sur son institution, son utilité, sa théorie et sa tactique, etc.; rendu classique pour la clique de la claque, etc.”, Paris, Chez les marchands de nouveautés, 1817. **Szendy, Peter (2000), "L'Art de la claque, ou s'écouter écouter au concert", In "Le Concert : enjeux, fonctions, modalités", sous la direction de Françoise Escal et François Nicolas, Paris : L'Harmattan, pp. 91-109. *'__catégories__' : audience {br}{br}
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