JV1878Millions - Jerome Joy website

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!!1878 - « Les Cinq Cent Millions de la Begum ». {html} <TABLE width="100%"><TR><TD ALIGN="center"> <IMG SRC="../files/articles/julesverne/begumbig.jpg"><br><small>Un soupir passa à travers le tuyau.</small> </TD></TR></TABLE> {/html} {br}{br}{br} {small}'__Commentaire__' : {/small} ---- '__Mot-Clés__' : '''tuyau acoustique''', '''cornet acoustique''', '''téléphone''', '''conférence multiplex''' ---- {small}'__[Télécharger le livre « Les Cinq Cent Millions de la Begum »\|http://beq.ebooksgratuits.com/vents/Verne-begum.pdf]__'{/small} ---- {small}'__Illustrations__' : http://www.scribd.com/full/3212245?access_key=key-2j5nul9y7erimvfyfde6 {/small}{br}{small}'__Illustrations__' : http://www.renepaul.net/collection_verne1/galerie.htm?500_millions_begum {/small} ---- {br}{br} \|ht '__'''Extrait'''__'.................. \|t « ''Chap. IV -- Part à deux'' -- ^[...^] Le jeune clerc murmura ces renseignements dans le pavillon d’un tuyau acoustique et reçut en réponse dans le pavillon de sa propre oreille une communication qu’il n’eut garde de rendre publique. ^[...^] »{br}{br}« ''Chap. XII -- Le Conseil'' -- ^[..^] Le docteur précéda ses hôtes dans son cabinet de travail.{br}C’était une pièce simplement meublée, dont trois côtés étaient couverts par des rayons chargés de livres, tandis que le quatrième présentait, au-dessous de quelques tableaux et d’objets d’art, une rangée de pavillons numérotés, pareils à des cornets acoustiques.{br}« Grâce au téléphone, dit-il, nous pouvons tenir conseil à France-Ville en restant chacun chez soi. »{br}Le docteur toucha un timbre avertisseur, qui communiqua instantanément son appel au logis de tous les membres du Conseil. En moins de trois minutes, le mot « présent ! » apporté successivement par chaque fil de communication, annonça que le Conseil était en séance.{br}Le docteur se plaça alors devant le pavillon de son appareil expéditeur, agita une sonnette et dit :{br}« La séance est ouverte... ^[...^] »{br}^[...^] La question et la réponse étaient parvenues instantanément à chaque membre invisible du Conseil comme les explications qui les avaient précédées.{br}^[...^] Le président Sarrasin : « Je mets aux voix la proposition. »{br}Deux coups de timbre, frappés dans chaque téléphone, annoncèrent qu’elle était adoptée à l’unanimité.{br}Il était huit heures et demie. Le Conseil civique n’avait pas duré dix-huit minutes et n’avait dérangé personne.{br}L’assemblée populaire fut convoquée par un moyen aussi simple et presque aussi expéditif. À peine le docteur Sarrasin eut-il communiqué le vote du Conseil à l’hôtel de ville, toujours par l’intermédiaire de son téléphone, qu’un carillon électrique se mit en mouvement au sommet de chacune des colonnes placées dans les deux cent quatre-vingts carrefours de la ville. Ces colonnes étaient surmontées de cadrans lumineux dont les aiguilles, mues par l’électricité, s’étaient aussitôt arrêtées sur huit heures et demie, – heure de la convocation. ^[...^] »\| {br}{br} {br}{br} ---- {html} <TABLE width="100%"><TR><TD ALIGN="left"> ← <A HREF="index.php?page=JV1877Capitaine"><small>« Un Capitaine de Quinze ans »</small></A></TD><TD ALIGN="center"> <A HREF="index.php?page=JV2"><small><b>Sommaire</b></small></A></TD><TD ALIGN="right"><A HREF="index.php?page=JV1878Tribulations"><small>« Les Tribulations d’un Chinois en Chine »</small></A> →</TD></TR></TABLE> {/html} ---- {br}{br}{br} ---- {plugin:FOOT_NOTES}
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