JV1877Capitaine - Jerome Joy website

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{NO_COMMENTS} {br}{br} ---- {html} <TABLE width="100%"><TR><TD ALIGN="left"> ← <A HREF="index.php?page=JV1876Indes"><small>« Les Indes Noires »</small></A></TD><TD ALIGN="center"> <A HREF="index.php?page=JV2"><small><b>Sommaire</b></small></A></TD><TD ALIGN="right"><A HREF="index.php?page=JV1878Millions"><small>« Les Cinq Cent Millions de la Begum »</small></A> →</TD></TR></TABLE> {/html} ---- {br}{br}{br} !!Jules Verne !!1877/78 - « Un Capitaine de Quinze ans ». {html} <TABLE width="100%"><TR><TD ALIGN="center"> <IMG SRC="../files/articles/julesverne/capitaine15big.jpg"><br><small>Dick Sand pénétra sous l’épaisse forêt.</small> </TD></TR></TABLE> {/html} {br}{br}{br} {small}'__Commentaire__' : Un capitaine de quinze ans est un roman de Jules Verne paru du 1er janvier au 15 décembre 1878, au Magasin d'éducation et de récréation et en édition grand format la même année ; il est essentiellement consacré à la question de l'esclavage, et plus particulièrement du commerce d'esclaves africains par d'autres africains.{/small} ---- '__Mot-Clés__' : '''symphonie animale''' ---- {small}'__[Télécharger le livre « Un Capitaine de Quinze ans »\|http://beq.ebooksgratuits.com/vents/Verne-quinze.pdf]__'{/small} ---- {small}'__Illustrations__' : http://www.scribd.com/full/3212146?access_key=key-zsssgdzefaw5nart28s {/small}{br}{small}'__Illustrations__' : http://www.renepaul.net/collection_verne1/galerie.htm?capitaine_15_ans {/small} ---- {br}{br} \|ht '__'''Extrait'''__'.................. \|t « ''Chap. XVII'' -- De ces divers quadrumanes, les plus remarquables incontestablement sont les « guéribas », à queue prenante, à face de Belzébuth. Lorsque le soleil se lève, le plus vieux de la bande entonne d’une voix imposante et sinistre une psalmodie monotone. C’est le baryton de la troupe. Les jeunes ténors répètent après lui la symphonie matinale. Les Indiens disent alors que les guéribas « récitent leurs patenôtres ».{br}Mais, ce jour-là, paraît-il, les singes ne firent point leur prière, car on ne les entendit pas, et, cependant, leur voix porte loin, car elle est produite par la rapide vibration d’une sorte de tambour osseux formé d’un renflement de l’os hyoïde de leur cou.{br}Bref, pour une raison ou pour une autre, ni les guéribas, ni les sagous, ni autres quadrumanes de cette immense forêt n’entonnèrent, ce matin-là, leur concert accoutumé.{br}Cela n’eût pas satisfait des Indiens nomades.{br}Non que ces indigènes prisent ce genre de musique chorale, mais ils font volontiers la chasse aux singes, et, s’ils la font, c’est que la chair de cet animal, surtout lorsqu’elle est boucanée, est excellente. »\| {br}{br} {br}{br} ---- {html} <TABLE width="100%"><TR><TD ALIGN="left"> ← <A HREF="index.php?page=JV1876Indes"><small>« Les Indes Noires »</small></A></TD><TD ALIGN="center"> <A HREF="index.php?page=JV2"><small><b>Sommaire</b></small></A></TD><TD ALIGN="right"><A HREF="index.php?page=JV1878Millions"><small>« Les Cinq Cent Millions de la Begum »</small></A> →</TD></TR></TABLE> {/html} ---- {br}{br}{br} ---- {plugin:FOOT_NOTES}
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