On extended, boundless, vibratory and in-the-now sympathy music

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« Tout ce qui bouge sur un écran est du cinéma. » (Jean Renoir)


  Sommaire / Contents 





INTERLUDE, n. m.





mot-clés :




Définition :(Edit)

Domaine : audiovisuel / radio - télévision.
Définition : divertissement de courte durée qui permet de combler un vide à l'antenne.
Anglais : fill-in.
Sources : arrêté du 10 octobre 1985 (J.O. du 13 novembre 1985)
http://www.presse-francophone.org/apfa/Defi/I/INTERLUD.htm

Définition :(Edit)

n. m. - 1819, mot anglais de inter- et latin ludus jeu.
Petit intermède dans un programme dramatique, cinématographique, etc.
Court sujet destiné à faire patienter les téléspectateurs, en attendant une émission.
Passage que l'on joue à l'orgue entre les versets d'un choral. Courte pièce exécutée entre deux autres plus importantes.

Définition : (Edit)

A period of time between two events.

Définition:(Edit)

À la télévision, un interlude est une émission courte et souvent muette diffusée pour meubler un trou dans la grille de diffusion ou lorsqu'un problème technique interrompt cette diffusion. Très rare de nos jours, l'interlude était fréquent durant les premières décennies de la télévision.

(ref: http://fr.wikipedia.org/wiki/Interlude )


L'interlude : kit de secours ou rustines télévisuelles (Edit)

"D'une manière synthétique, nous pourrions dire que l'habillage d'antenne est la mise en place d'une conception graphique unifiée, à visée informative et promotionnelle, appliquée à des séquences propres à une chaîne et n'appartenant pas à des programmes phares.

Ses applications sont nombreuses et éclectiques, toutes situées dans la catégorie des programmes interstitiels. Il regroupe les interludes, les génériques de publicité, les génériques d'ouverture et de fermeture d'antenne, les bandes-annonces, les pages auto-promotionnelles. Certaines typologies incluent dans la définition les génériques des émissions propres à chaque chaînes telles que journal télévisé, émissions auto-produites ou encore émissions phares. Nous nous efforcerons dans cette étude de ne considérer que l'habillage interstitiel, envisagé comme indépendant de toute émission, et dont chaque partie est solidaire du tout.

...................« L'interlude se définit par une situation intermédiaire, celle d'une pause iconique très brève, doté d'un style spécifique, marquant une séparation entre deux ensembles qui font partie ou non de la programmation. Sa double appartenance à une situation interstitielle et à un style spécifique le fait se rapprocher de l'habillage. » (Françoise Holtz-Bonneau, "Enjeux croisés de la création et de la communication.", in « Arts et technologies. », Les chemins de la recherche n°27, Programme Rhône-Alpes, Recherche en Sciences Humaines).

Françoise Holtz-Bonneau nous propose ici une réflexion synthétique de ce qui est vraisemblablement la "clef de voûte conceptuelle" de l'habillage d'antenne. Cependant, ne nous méprenons pas. Cet interlude là, que nous pourrions appeler "virgule" ou encore "respiration", ne doit pas être assimilé à l'interlude d'attente, destiné à meubler l'antenne durant une panne ou autre interruption du faisceau. Nous pourrions assimiler la place de cet élément dans le flot télévisuel à la place qu'occupe un silence dans une partition. De plus en plus usité, il serait possible d'imaginer ce "silence virtuel" sous la forme de simples écrans blancs, noirs, ou monochromes. Il ressemblerait simplement à ceux que l'on entrevoit entre les publicités, chocs subliminaux destinés à suggérer au spectateur l'idée de transition, de changement de milieu. Ce pourrait être également un simple logo sur un fond neutre. Il serait alors combinaison d'efficacité visuelle et prendrait une certaine valeur hypnotique. Ce type d'interlude est souvent utilisé dans les plages creuses des grilles de programmation, ou en tant qu'élément central d'habillage dans les chaînes à petit budget. Mais généralement, sa valeur dépasse le niveau d'une simple présence publicitaire.

L'interlude devient intéressant lorsqu'il devient captivant et ludique à la fois, stimulation simultanée de l'œil et de l'esprit. En effet, la place qu'il occupe entre les programmes est l'occasion d'un dialogue ente la chaîne et son public. Il convient donc d'aménager cet espace d'une manière la plus créative possible, sans toutefois provoquer de distanciation avec l'environnement. Il établit par le biais de cet emboîtement une relation de séduction avec le spectateur, accompagnée d'une convivialité issue de son aspect ludique. C'est un entracte donc, paré d'élément sémiologique, de codes ou de références. Le voile mystérieux dont il se couvre le préserve d'une usure prématurée, et lui permet de garder son intérêt, et sa profondeur. Lorsque le jeu des signes n'existe plus, les règles étant éculées, les codes forcés, l'efficacité n'est plus et le cadeau de la chaîne devient une piètre carte de visite : le symbole de la vétusté et de l'immobilisme. L'interlude se nourrit de la curiosité qu'il suscite.

Nous pourrions dire que l'interlude est l'élément central de l'habillage télévisuel, car il n'a pas de mission propre. Il pourrait être supprimé, remplacé par une page de publicité. Pourtant, il est de plus en plus présent dans les grilles. Même s'il expose le logo de la chaîne, même s'il contient souvent un message auto-promotionnel, il sera jugé par le spectateur sur son contenu créatif, son originalité et son aspect ludique. Il est le véritable fond de la chaîne, synthèse de sa personnalité, mais aussi source créative des autres éléments.

La télévision, par définition, est incompatible avec l'absence de programmes. Le flot des émissions crée un espace temporel solidaire, qui ne supporte pas le "trou". Or, l'interruption momentanée, soit-elle due à des problèmes techniques ou à d'autres incidents impondérables, était fréquente à l'heure des pionniers. Cet accroc dans la maille télévisuelle provoque chez le spectateur une frustration, d'importance variable, mais qu'il convient d'atténuer. Il faut l'informer de l'origine de la panne, afin qu'il ne soupçonne pas une disfonction de son propre récepteur. Il faut également le rassurer : il n'est pas seule victime de la panne, il ne loupera rien de ce qui s'est passé durant l'absence de signal.

Au départ, lorsque l'outil n'était pas encore pleinement rôdé, un simple "carton" comportant un mot d'excuse pouvait suffire. Mais lorsque la télévision devient l'un des éléments centraux du foyer, aucune interruption n'est supportable. C'est ainsi que furent imaginées de courtes séquences animées, ludiques le plus souvent, susceptibles d'occuper le téléspectateur alors que les techniciens s'échinaient à résoudre la défaillance.

Autre fonction de l'interlude : venir combler un espace libre entre les émissions. En effet, il est parfois impossible d'organiser une grille de diffusion de manière à ce que les durées des émissions s'imbriquent parfaitement. La fonction de l'interlude est alors de permettre un ajustement.

L'interlude caractérise la naissance d'un lien de service, voire de servilité, de la télévision au spectateur. La télévision est un droit, émettre, un devoir. Tout manquement à cette règle est intolérable car il érode le lien du média à son récepteur. L'interlude dédramatise cette rupture. Il est un élément sans durée précise, sans surprise, plat. Sa structure est la plus répétitive possible de manière à faire perdre toute notion de temps. Il représente une stagnation, un flottement du « temps interne de la télévision » (Formule de Jean-Louis Missika et Dominique Wolton : « La folle du logis : la télévision dans les sociétés démocratiques. », 1983, Gallimard, page 177). Il est le raccord dans la grille de programme si précisément étalonnée et rythmée.

En cela, l'interlude fait partie de l'habillage. D'un point de vue formel, d'abord, il n'est pas un programme en tant que tel, et vient s'insérer dans des espaces laissés vacants. Il n'est pas un rendez-vous avec le téléspectateur, ne focalise pas l'intérêt. Dans sa construction, il doit indiquer l'identité de la chaîne, tout en restant neutre. Du point de vue de l'effet, ensuite, il crée un espace supplémentaire de convivialité, représentant souriant des plus plates excuses. Sa fonction est donc fortement signalétique. C'est aussi, lorsqu'il vient ajuster les grilles, un bonus supplémentaire offert au téléspectateur, au détour des balises des grands rendez-vous, un espace de jeu ouvert sur le terrain cathodique.

L'interlude est le visiteur de l'imprévu, sympathique et joyeux mais rarement regretté. Il est aujourd'hui tombé en désuétude, remplacé par des programmes courts et la publicité pour l'ajustement ou des images gelées en cas de panne (La plupart des chaînes sont dotées d'un système de détection automatique qui, en cas de panne, diffuse en boucle la dernière image valide, et commute sur l'image d'un logo par exemple, au bout d'un laps de temps défini).

Aujourd'hui, la place réservée aux éléments interstitiels est de plus en plus étendue. En effet, pour pallier au comportement du "spectateur-zappeur", les chaînes doivent offrir toujours plus d'informations, à la suite, le plus rapidement possible. Ainsi, comme le remarquent François Jost et Gérard Leblanc, s'appuyant sur l'interlude :

...................« Loin de se cantonner à son genre d'origine, la forme clip a progressivement investi les grilles de programmes. » (François Jost et Gérard Leblanc, « La télévision française au jour le jour. », 1994, Anthropos / INA, pages 102 et 103).

Dans cette logique, des intercalaires infographiques sont nécessaires, pour organiser ce maelström d'images, participant ainsi à cette accélération du flux des données. En occupant un espace toujours plus important du "plan d'occupation de l'antenne", l'habillage s'impose lourdement sur nos petits écrans. Dans une telle optique, nous pourrions nous demander s'il ne prendra pas finalement le dessus sur les programmes.

(Philippe Jaur, l'habillage d'antenne...une nouvelle définition de l'espace télévisuel, mémoire réalisé en 1999/2000 à l'Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis, sous la Direction de Monsieur Alain Montesse. Un extrait de ce mémoire a été publié dans "Les dossiers de l'audiovisuel", de l'INA, dans le numéro 101 de mars 2002, intitulé "Couleurs d'Antenne", et conçu sous la direction de Claude Mussou et Christian Zanesi).


citation(Edit)

..................."Les gestes quotidiens qui entouraient le téléviseur étaient chargés d'un grand respect pour la technique: l'attente de la montée en température des lampes; les changements de chaînes, opération que l'on consentait de loin en loin, parce qu'il fallait se déplacer, tourner un gros bouton à crans ou enfoncer une touche à longue course; le branchement des régulateurs de courant, qui protégeaient parfois des parasites produits par les solex et autres mobylettes; le tout rythmé par le ballet des speakerines, des interludes, des horloges, des mires." (Alain Le Diberder, Télévision, la fin de la magie, Le media devient banal,local, pratique et modeste peut-être, sait-on jamais, Le Temps stratégique, No 66, Genève, octobre 1995.)


L'interlude est de retour.(Edit)

" Avec des images qui bougent (http://www.earthtv.com/e/index-03-101.html ), des beaux paysages (http://liveonearth.com/e/locations/Location_35.html ), une musique lounge (http://www.earthgrooves.de/frame-e.html ), ce sont les programmes de Earth TV (http://www.earthtv.com/e/index.html ) qu'on peut voir sur LCI depuis quelques mois et sur France 2 depuis quelques semaines.

Cette société allemande propose des images du monde entier grâce à un réseau de 50 caméras (généralement installées dans des hôtels de luxe). 8 types de programmes (http://liveonearth.com/e/index-tv-formate.html ) sont proposées aux chaînes de télévision, dont le Flash Tour que diffuse LCI.

..................."The FlashTour takes the viewer LIVE to different locations integrating the actual time and weather of each location. The FlashTour includes 8 –12 locations showing 7-10 seconds per location. For the first time, viewers can obtain an emotional and informative up-to-date look at our world in a condensed and unforgettable 80 seconds."

Une vingtaine de chaînes (http://liveonearth.com/e/indexsendeplan.html ) sont déjà clientes de ces interludes modernes."

(Jérôme Perani, http://tvnomics.typepad.com/tvnomics/2005/01/linterlude_est_.html )


citation(Edit)

..................."L'interlude était un motif de la télévision, de l'ORTF. C'était le premier moment où la télévision était « interactive ». C'était la place d'une subjectivité et cet espace a disparu." (Entretiens avec Florence Derieux par Marine Hugonier et Pierre Huyghe, Galerie Françoise Crousel, 4 Mars / 29 Avril, 2000)

Fichier à télécharger (rtf):
http://www.crousel.com/press/past/artist/hugonnier/hugonniervf00.rtf


First Interlude Broadcast(Edit)

7/2/1952

Vespers music from the Monastery of St Benedict, Ealing becomes the BBC's first Interlude. The vignettes, including The Potter's Wheel and The White Kitten, are used to fill out schedules when live TV broadcasts under-run or break down.


Liste des interludes sur la BBC(Edit)

http://open.bbc.co.uk/catalogue/infax/series/INTERLUDE

  • Scottish Harbour, First broadcast on 1930-01-01.
  • Vespers (9m 00s), First broadcast on 1952-02-07 (Description: Vespers music, Feast of Holy Guardian Angels from the Antiphonale in use in the Monastery of St Benedict, Ealing).
  • Church, Mill and Stream, River Ouse, Olney, Buckinghamshire (9m 15s), First broadcast on 1953-10-10 (Music: Starlings (Charles Williams), How beautiful is Night (Robert Farnon)).
  • Kaieteur Fall, British Guiana (7m 11s), First broadcast on 1953-10-24.
  • Up the River (9m 30s), First broadcast on 1953-10-30 (Description: Natural sounds. Shot at Medmenham Abbey, Henley on Thames, Bucks).
  • Sandy Shore (11m 23s), Jamaica, First broadcast on 1953-10-31 (Description: Natural sounds).
  • The Windmill (5m 30s), First broadcast on 1953-11-01 (Description: Interlude film showing Pakenham Mill, near Bury St Edmonds. Shot at Packenham, Bury St Edmunds. Pastoral Montage).
  • Ploughing, Tillford, Essex (8m 05s), First broadcast on 1953-11-04 (Description: Short interlude film of traditional ploughing in Tilford or Tillingham, Essex) (Music: The Ploughman Homeward Plods, Passing Stormclouds (Louis Voss), Downlands (Cecil Milne)).
  • Bonfire (6m 50s), First broadcast on 1953-11-05 (Description: Shot at Lighthorne, near Leamington Spa).
  • Palmbeach (9m 07s), First broadcast on 1953-11-09 (Description: Shot on Jamaica).
  • The Potter's Wheel (5m 50s), First broadcast on 1953-11-16 (Description: Short interlude showing a bowl being shaped on a potter's wheel) (Music: The Young Ballerina (Charles Williams), Sadlers Wells (Haydn Wood)).
  • Angel Fish (8m 45s), First broadcast on 1953-12-03 (Description: Short interlude film of angel fish in an aquarium. Shot at Regents Park Zoo) (Music: Rippling Waters (Donald Thorne), Cloud Drifts (Cecil Milne), Picture in the Fire (Farnon)).
  • Rough Sea and Rocks (9m 30s), First broadcast on 1953-12-10 (Short interlude film of rough sea against rocks. Natural sounds. Shot at Pulpit Bay, off Portland Bill).
  • Spinning Wheel (6m 35s), First broadcast on 1953-12-17 (Description: Short interlude film of a woman at a spinning wheel) (Music: Table Talk (Dolf van der Linden), Muse in Mayfair (Vivian Ellis)).
  • Tapestry (6m 30s), First broadcast on 1954-01-05 (Description: Miss Thackwray, Royal School of Needlework) (Music: Harpsichord Concerto (Bach)).
  • River and Birds (10m 00s), First broadcast on 1954-01-13 (Description: Natural sounds & effects. Shot at Olney, Bucks).
  • Bank of Streams, River Ouse, Olney Bucks (8m 45s), First broadcast on 1954-01-16 (Music: Cloudland (Bruce Campbell), Queen Mary's Garden (Haydn Wood)).
  • Loch Reflections, Loch Tay (7m 00s), First broadcast on 1954-04-03 (Music: The Most Covered Mountain (trad), The Highland Cradle Song (trad), March of the Cameron Men (trad), Kenmure's On An' Gwa (trad), March: Cabbi Freidh (trad), Highlan Laddie (trad), Cock of the North (trad)).
  • Rocks and Seagulls (4m 00s), First broadcast on 1954-06-05 (Description: Natural sounds. St Mary's Bay, Brixham, Devon).
  • The (White) Kitten, First broadcast on 1954-07-21 (Description: The kitten's name is Snowy and he was owned by a Mr Martin of Barnet, Herts) (Music: Prunella (Leslie Bridgwater), Summer Breezes (Reginald King)).
  • Seascape (10m 00s), First broadcast on 1955-03-09 (Description: Natural sounds. Shot at Chesil Beach, off Portland Bill).
  • Children's Interlude, 2:Paper Mill, First broadcast on 1957-04-05.
  • Stanley Unwin, Interlusion, First broadcast on 1958-05-02.
  • River Thames, First broadcast on 1964-04-29.
  • Toy Fair, First broadcast on 1966-01-20.
  • Gooney Birds Taking Off, First broadcast on 1971-03-23 (Description: Short interlude film of gooney birds taking off from beach).
  • Piano Playtime, First broadcast on 1982-09-02 (Description: Short interlude film of a pianola).
  • 10 October 1988, Recorded on 1988-07-27.
  • The David Snell Trio, First broadcast on 1989-12-09.
  • Harp, unknown date (Description: Improvisation on the harp by Owen Mason).
  • River Tay (6m 55s), unknown date (Description: Filmed in Perthshire).
  • (Moonlight) Seascape, unknown date (Description: Shot at Chesil Beach).
  • Snowstorm, unknown date
  • Sunlit Shore, unknown date
  • Swiss Interlude (1m 45s), unknown date (Description: Musical box?).
  • Trees, unknown date (Description: Shot in Epping Forest).
  • Water Wheel (9m 02s), unknown date (Description: At Bucklebury, near Newbury, Berks).


The interludes on BBC.(Edit)

"Consisting mainly of live broadcasts, timings were not always accurate in early 1950's BBC programmes, so interludes would be inserted between programmes to keep the audience amused. Typical interludes included: The Potter's Wheel, The Spinning Wheel, The White Kitten, Angel fish, Horses ploughing a field, and of course the classic "London to Brighton in 4 Minutes"." (...)

Références :
http://www.bbctv-ap.co.uk/interlud.htm
http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm
http://emissions.ca/emissions/interludes-ortf-362.php




Rippling Waters

source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Spinning Wheel

source : http://www.turnipnet.com/tv/spinningwheel.wav
http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Angel Fish

source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm

Video : http://www.turnipnet.com/tv/angelfish.ram




Potter's Wheel


source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/potterswheel.wav
http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




The White Kitten


source : http://www.turnipnet.com/tv/kitten.wav
http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Wind Mill

source : http://www.turnipnet.com/tv/pastoral_montage.wav
http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Church, Mill and Stream


source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/cmsinterlude.wav
http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Ploughing

source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm

{small}Video : http://www.turnipnet.com/tv/interlude1.ram {/small}




Loch Reflections

source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




River and Birds

source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Sea and Rocks

source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Tapestry

source : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm




Palm Beach

source :




Palm Beach (1982)

source :




Messing about on The River

source :




The Weir (1963)

source :




Flirtation Waltz

source :





London to Brighton in 4 minutes.(Edit)

"This longer interlude used trick photography to make, as David Lloyd James noted on the soundtrack, an average effective train speed of 765 miles per hour. The cameraman sat in the front of the locomotive hand-cranking the 35mm camera at 2 frames per second (instead of 25fps). When he ran out of film and had to reload the 100ft. magazine, the sections of the journey missed during this procedure were covered by inserting a cutaway of the train driver at the controls."

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BBC Suppressor Film(Edit)

''"The BBC Suppressor Film, also made in the early 1950s by the BBC on behalf of the trade association BREMA, illustrated how fitting a suppressor to a car's ignition system eliminated the interference menace on television screens.

Tony Clayden has been studying the film and has identified virtually every location used in the film. They are all in north-west London, presumably for the convenience of a film unit based at Alexandra Palace (or is there some other reason?), and few have changed much in the last forty-something years. Of course, it helps if you grew up in the area, as Tony did.

- Opening shot – Heath Street, Hampstead

- Services lorry – Stoneyfield Lane

- Scammel Scarab – East End Road (cottages now demolished)

- GPO mail van – emerging from Vivian way into Deansway

- Triumph Renown – Hale Lane

- Standard Vanguard – West Heath Road

- Electrical shop – corner of Edgwarebury Lane and Station Road, Edgware

- Austin car, passing modern flats – Belvedere Court, Lyttleton Road, Barnet By-pass"''

Référence : http://www.whirligig-tv.co.uk/tv/history/interludes.htm


INTERLUDES ON BBC TELEVISION(Edit)

"Back in the 1950s the Interludes on BBC television were short films used to fill up gaps in the programme, during intervals in plays (yes there were actual intervals then!), or as a standby in case of a studio breakdown. They mainly consisted of tranquil scenes, such as Ploughing, in which a horse-drawn plough would gradually work across a field, or a windmill, sails slowly turning. The interlude most fondly remembered is the Potters Wheel, in which a potter's hands (the potter was not shown) would make various vase-type objects on the wheel, but never actually finishing any. The films were accompanied on the soundtrack by peaceful music or natural sounds.

Three other programmes, not technically interludes, were also used to fill time on BBC television during the 1950s. They were two short items made by the BBC Film Unit, London to Brighton in Four Minutes and the BBC Suppressor Film. A longer programme, used as a last-minute substitute when the scheduled item was unavailable, was Journey Into The Weald of Kent, introduced by Sir John Betjeman. This film lasted longer and was made by the National Benzole petrol company; it was later also used as a trade test colour film.

The following list, unfortunately not complete, comes mainly from a handwritten sheet copied out by Arthur Dungate in the early 1950s augmented by information from the BBC. Inevitably there are gaps in this list; additions and corrections will be most welcome!

This list of BBC Television Interludes gives the title of the film, its length where known (films were seldom shown in full, however), where filmed (if known) and the accompanying music. It is assumed that most of these films were made by the BBC Film Unit.

Read the list: http://www.bvws.org.uk/405alive/info/prog_interludes.html

London to Brighton in Four Minutes, made by the BBC Film Unit in 1952, was a favourite of many viewers during the 1950s. In those days one never knew when it would be screened, but it often popped up when there was an unscheduled gap between programmes. Luckily, it has been repeated on BBC-TV several times recently. Apparently the journey on the Brighton Belle was filmed at 2 frames per second (fps). Thus at the normal projection speed of 24fps a speed of 60 mph becomes 720 mph. Some people say there were two versions of this film, can anyone confirm and explain? That is ignoring the subsequent remakes of this classic film.

Incidentally, this film set the pace for several others in the same genre. First came London to Brighton at 900 MPH, which was a colour film sold on the 8mm format by Mountain Films. I guess this was made during the 1960s. British Transport Films made Let's Go to Birmingham (Paddington-Birmingham in five minutes) and more recently Inter City 1250 (Kings Cross-Peterborough at 1250 mph!). Also in recent times, the BBC remade London to Brighton but showed only sections of it, interleaved with the original, classic version.

(Andy Emmerson and the British Vintage Wireless Society)


The Interlude(Edit)

"An important point in the transmission schedule up until 1957 (and sporadically in 1958) was the break between 4pm and 8.50pm (the times vary, but are always, approximately, late afternoon to early evening). It may, or may not have been foremost in the minds of the programme planners for Christmas Day 1937 but it certainly was in the mind of John Reith and the planners over subsequent years, to close transmission down at that time of the day for very specific reasons. On weekdays (particularly during the 1950s) the closedown became known as 'Toddlers Truce' - a period of time when mothers could persuade their children to go to bed with the minimum of distraction.

On Sundays however the motive was more to do with Reith's attitudes towards the Sabbath. In short, television was not to be permitted to offer an excuse for people to miss evening services at their church; the assumption being that everybody belonged to one Christian denomination or another. The break in transmission became a context in which a virtually new art form found its genesis and brief existence: the Interlude. The Interlude was a short film most ubiquitous in the years 1954,55 and 56 and transmitted usually just before the evening broadcasting services were resumed. The content of the Interlude would seem apposite to the whole argument concerning the need of the new medium to assert its cultural worth.

There were three main Interlude films; the most famous of which involved a potter throwing a pot on a wheel. The other two depicted a typically English pastoral scene and a kitten playing with a ball of wool. The potter's wheel seems particularly appropriate to the dichotomy between the religious observance of the sabbath and the potential for secular edification contained in the classic drama. In this Interlude we are offered a concrete example of the forging of material (clay and water) with the aesthetic; the potter's hands in direct contact with the rhythm of the clay's momentum are forging the aesthetic of the pot. This image is almost irresistible as a paradigm for the cultural development of BBC television through to the end of 1959."

(Christopher McCullough, The Rise and Fall of the Reithian Sunday: 1936-1959, in Europa Number 2 Article 3 - 1996, http://www.intellectbooks.com/nation/html/reith.htm )


THE INTERLUDE FILMS(Edit)

"The famous short films of the 1950's which signified a break between live programming. The most famous was probably the Potter's Wheel but others included a kitten playing, a windmill turning and a waterfall. These would be seen during intervals that occured between the acts of a play and the like."

(2002-2006 Memorable TV/Little Acorns Publishing, http://www.memorabletv.com/bfi2.htm )

../files/articles/nocinema/interludes/interlude.vt50.gif


BBC Interludes (1960s)(Edit)

by Simon Luxton

http://www.tv-ark.org.uk/bbccontinuity/bbc1continuity1960s.html

Messing About On The River (Includes the song of the same name, sung by Josh McRae. Written by Tony Hatch, it was a hit in 1960!)

Music (Real Audio): http://www.tv-ark.org.uk/bbccontinuity/bbc1/bbcinterluderiver1960s.rm

../files/articles/nocinema/interludes/bbcinterluderiver1960s.jpg

Palm Beach (The relaxing sight of a steady tide in warmer climes. This film includes the "Interlude" caption unlike our previous two offerings.)

Music (Real Audio): http://www.tv-ark.org.uk/bbccontinuity/bbc1/bbcinterludepalmbeach1960s.rm

../files/articles/nocinema/interludes/bbcinterludepalmbeach1960s.jpg

Flirtation Waltz (And finally, my personal favourite - Jim Franklin's animation reminiscent of those inserts in Schools programmes. Flash reconstruction, anyone?)

Music (Real Audio): http://www.tv-ark.org.uk/bbccontinuity/bbc1/bbcinterludeflirtationwaltz1960s.rm

../files/articles/nocinema/interludes/bbcinterludeflirtationwaltz1960s.jpg


BBC Interludes(Edit)

http://www.sub-tv.co.uk/itvschools.asp

"This is a rare, off-screen shot of the ITV Schools interlude caption used in the 1960s, from the Transdiffusion archive.

Chris Bowden-Smith writes: "The slide was used for all the general interlude music between schools programmes, and for the first 60 seconds of the 2 minute countdown piece (contrast this with the later, separate, 1 minute clock music).

"The vision cut to the countdown clock for 60 seconds over the last 60 seconds of the countdown piece, which lasted 1 minute 55 seconds in total."

"There was no vision change at 2 mins before the programme, just the start of the countdown music as if it were the next interlude piece. The first change in the vision was the countdown appearing in vision 60 seconds before the programme, and half way through the music. The clock had no hands, just a disappearing rim, with one-second gradations similar to the later ITV colour one."

../files/articles/nocinema/interludes/itvschools_60s_interlude_orig.jpg

"You can download an MP3 of a piece used to accompany this slide, Finale to a Dance Suite by Thomas Arne recorded off-air"

"There's an 'end of schools programmes' announcement from the 60s available here, where the announcer reads the schedule for schools the following day and leads in to a short stab of the ATV station music Sound and Vision, which Chris Bowden Smith says was used to close ATV after schools programmes had finished."

"Yorkshire Television would sometimes show Picture Roll, which consisted of a roll of black paper with pictures drawn by children on it. The roll continually scrolled up the screen, looping around as it got to the end."

../files/articles/nocinema/interludes/PictureRoll.jpg

a video:

(archives : [read the video archive|http://joy.nujus.net/files/articles/nocinema/interludes/PictureRoll.mpg )


citation(Edit)

..................."(Does anyone else automatically see the potter's wheel when they see or hear the word interlude ?)."
(Posted by Laura F. Spira: Sun Jun 05, 2005 3:19 am, http://www.vocaboly.com/)


Normal Service Will Be Resumed As Soon As Possible(Edit)

"Of course, interspersed with all this, we were obliged to watch at least two, or even three, of the BBC's memorable 'interlude' shorts, of which, the most famous was The Potter's Wheel. These usually followed a polite, card-borne, 'technical hitch' apology, which was headed with the assurance: 'Normal Service Will Be Resumed As Soon As Possible'.

And, I am bound to tell you: before a few months had elapsed, we all got to know those words by heart...and no doubt many a subsequently successful potter, cut his teeth on viewing the BBC's frequently-shown short. The same could be said for aspiring plough-boys, stimulated by 'Auntie's' traditional team of Shire-Horses, which were to be seen, regularly, wending their way through the furrows, in the rustic, field-ploughing interlude." (Gerry George on http://www.whirligig-tv.co.uk/ )

"the kitten playing with the wool on a chair and under it, the mill stream, were always on. They would also be played during technical breakdowns, (common in those days), with the immortal words on the screen now and again, "Normal Service Will Be Resumed As Soon As Possible".


citation (Direct 8)(Edit)

..................."Et si la télévision avait auparavant des interludes avec Le Petit train de la mémoire et aujourd’hui des bandes annonces, Direct 8 "innove" avec des plans sur ses couloirs, ses bureaux... Et la joie de vivre semble de mise puisque les courses de fauteuils, les lancés de boulettes de papier ou autres sont reines. (...) Comme son nom l’indique, Direct 8 va privilégier le direct et ses vertus qui ont fait, autrefois, les grandes heures de la télévision : sincérité, imprévu, authentique discours sans montage, spontanéité, la vie qui fait irruption dans les programmes, la possibilité de rompre, à tout instant, la routine d’une « chaîne »." (Alain Agostini, Présentation de la nouvelle chaîne française Direct 8, 2006)


Interludes de l'ORTF (1955-1974)(Edit)

Les interludes, ce sont ces petits films qui permettent de patienter entre deux programmes, ou lors d'une interruption technique.

À l'époque où il n'y avait ni bandes annonces, ni publicité, on avait le choix entre la speakerine et l'interlude.

Dès le milieu des années 50, à l'époque de la RTF, est apparue une horloge filmée en direct, dont le plus fameux modèle (la pendule d'Houriez - 1960), est représenté ci-contre. Elle était accompagnée d'une musique caractéristique, que l'on retrouvera dans les années 70 lors des attentes des décrochages régionaux (notamment après les Chiffres et les Lettres), sur Antenne 2.

L'horloge ORTF

../files/articles/nocinema/ORTF/E362-2000013030104957.gif

../files/articles/nocinema/ORTF/horloge-ortf.jpg

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Ouverture des programmes (années 1960)

Fin des programmes (années 1960)

Le rocher aux mouettes et le petit chat à la pelote de laine sont les premiers films-interludes réalisés. L'image ci-contre provient du 45T de la musique du Rocher aux mouettes, mais c'était en réalité un vrai rocher avec de vraies mouettes. Même chose pour le petit chat.
Référence : http://emissions.ca/emissions/interludes-ortf-362.php

../files/articles/nocinema/ORTF/rocherauxmouettes.jpg

Le petit train interlude, ou petit train rébus, apparaît en 1960. Dans des petits films réalisés par Maurice Brunot (au départ en studio, puis en extérieurs), une maquette de train dont chaque wagon porte un morceau de rébus, défile sur l'écran. Lorsque toutes les images ont été vues, il passe devant une gare portant le panneau "la solution", puis la solution est donnée.

En 1963, il devient le petit train de la mémoire. Ce n'est plus un rébus qu'il faut résoudre, mais un objet à retrouver à partir d'un dessin décomposé en plusieurs parties à superposer mentalement". (Synopsis écrit par Gilles De N, Données d'archives provenant de Emissions.ca, http://archives.emissions.ca/025-6833-279773.html )

Le petit train rébus ou petit train interlude date de 1960, trous entre les programmes et aléas divers ne sont pas rares à l’époque. En cas de temps mort, ou après l’intervention de la speakerine, en cas d’incident technique, "Veuillez nous excuser de cette interruption indépendante de notre volonté", le petit train apparaît à l’écran pour faire patienter le téléspectateur. Sur le theme d’"Endlessy", de Clyde Otiset et Brook Benton (interprété par "Marc Taynor et ses cow-boys") ,il défile dans un paysage, chacun de ses wagons porte un élément d’un rébus à trouver, arrivé à a gare "La solution" la réponse est donnée.

C’est en 1960 que Pierre Sabbagh, à la recherche de films interludes plus dynamiques que "Le rocher aux mouettes" et "le petit chat à la pelote de laine" alors utilisés, s’adresse à Maurice Brunot. Le petit train nait le 15 septembre. En 1963 il devient Le Petit Train de la Mémoire : il faut reconstituer un dessin à partir des éléments figurant sur les différentes voitures. La même année le journal "Pilote" accueille le petit train rébus dans ses pages jeux.

Il disparait de la télévision en 1974.

Écouter la musique du Petit train Rébus:

Écouter la musique du Petit train de la mémoire:

../files/articles/nocinema/ORTF/petittrainrebus.jpg

../files/articles/nocinema/ORTF/interlude_panneau.jpg

../files/articles/nocinema/ORTF/lepetittrainrebus_2-14f1109.jpg


la naissance des interludes à l'ORTF(Edit)

"1960. La publicité n'existe pas encore, c'est l'époque de la toute nouvelle horloge à spirale et les trous dûs aux problèmes de diffusion de la RTF sont comblés par le rocher aux mouettes ou le chat à la pelote de laine. Pierre Sabbagh demande à Maurice Brunot de dynamiser un peu plus ces temps morts...

C'est ainsi que naît le 15 septembre 1960, le Petit Train d'Interlude, appelé aussi Le Petit Train Rébus. Au son d'une musique plus qu'entêtante, il serpente dans des paysages qui nous sont familiers, nous proposant un rébus réparti sur chacun des wagons du train. Et après nous avoir montré tous les éléments du rébus, termine sa course champêtre à la gare de... La Solution !

En avril 1963, il sera remplacé par Le Petit Train de la Mémoire, pour lequel il faut reconstituer un dessin à partir de petits bouts dessinés sur les différentes voitures. Les interludes disparaîtront définitivement en 1974." (Blog de Maître Po)''

../files/articles/nocinema/ORTF/lepetittrainrebus2.jpg

à écouter: Endlessly, la musique du Petit Train Rébus:

et à lire les rébus:

http://www.yapatoo.com/PapiersJaunis/Jeux/PiPTI/

Commentaires du blog:

Ah oui... souvenirs, souvenirs... toute une ambiance! à cette époque, la télé était en noir et blanc, ça rajoutait à l'étrangeté du petit train.. Commentaire n° 1 posté par: Eve le 02/02/2006 - 05:46:18

Le Petit Train Rébus ! Ca me faisait flipper, c'est dingue ! Je n'ai jamais compris ce que je voyais jusqu'à ce que je le redécouvre récemment. C'était angoissant, très angoissant. Mais c'étaient les jours heureux. Merci MP. Commentaire n° 2 posté par: Anne le 02/02/2006 - 06:14:32


Commentaires sur l'horloge ORTF(Edit)

"Nous autres, les petits enfants téléphages des 60', nous appelions ça "la pendule". À cette époque bénie, nos horaires étaient encore élastiques et nous prenions le temps de regarder, admiratifs voire presque fascinés, cette trotteuse géante qui parcourait cette incroyable pendule dotée d'une spirale irrégulière qui semblait vouloir nous hypnotiser. Point de stress comme aujourd'hui avec la terrifiante horloge qui trône en médaillon au bas de l'écran de Télématin sur France 2, non, c'était une époque où l'on avait du temps à perdre. Même la musique d'accompagnement, pourtant plutôt sentencieuse, nous paraîssait agréable." (message posté sur http://www.bide-et-musique.com/song/7263.html )






   
   
   
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